« Quand ils ne sont considérés que comme de la future viande, les animaux deviennent bêtes et les humains se déshumanisent », disait Vinciane Desprets, philosophe, psychologue et éthologue de l’Université de Liège, en parlant des abattoirs à la radio. Elle expliquait qu’en fin de compte, améliorer le sort des animaux d’élevage, c’était améliorer le sort des personnes chargées de travailler avec eux.