Depuis que les Etats-Unis pactisent avec les Russes, la paranoïa socio-occidentale a pris un nouveau visage : celui d’un arabe barbu, kalachnikov au poing, capable de tout, même de s’exploser pour aller au bout de sa folie de Dieu. A coup de matraquage médiatique, le « terrorisme» s’est immiscé dans les informations, les esprits, le vocabulaire, au point de devenir l’élément avec lequel « il faut faire ». Au point où le peuple docile accepte de perdre ses habitudes et ses acquis sans se plaindre. Constat et analyse rageuse au fil du quotidien et des
voyages d’un simple citoyen.