Je suis belge, j’ai 26 ans, nous sommes en 2006, et mon empreinte écologique [1] est de 2,3. Si tout le monde vivait comme moi, il faudrait 2,3 planètes pour subvenir aux besoins de la population mondiale sans altérer les ressources de la Terre. Un seul constat se dégage de ce chiffre, je consomme trop, je consomme mal. Pourtant, je ne me jugerais pas comme un cas particulièrement préoccupant à ce niveau (la moyenne européenne est de 5,1, celle des U.S.A. flirte avec les 10) [2]. Mais le résultat est là, criant et désespéré… 2,3… Ça doit donc vouloir dire que je suis responsable du [...]