Autrefois située à un niveau matériel (équipement, connexion internet), la fracture numérique s’envisage aujourd’hui « au second degré » , pour s’établir au niveau des compétences, des connaissances et de la maîtrise des outils. Il s’agit d’identifier dans les usages une source importante d’inégalité, imposant, ces dernières
années, une mutation dans la manière de construire l’accompagnement en termes de TIC. Des projets comme « École Numérique » et le travail mené par le service Podcast de l’ULB sont à replacer dans cette perspective.