Drôle de question, à la réflexion. Elle suppose a priori que les femmes, parce qu’elles sont femmes, ont un usage particulier des journaux quotidiens par rapport aux hommes, ou par rapport à ce à quoi ils [les journaux] sont censés servir. Notre propos va être ici de décortiquer la question plutôt que d’y répondre – ce qui néces-siterait certainement une analyse très approfondie et nuancée – et ce sous forme d’une dissertation sur les clichés qui nous envahissent l’esprit à partir de l’association entre le titre de l’article et l’illustration choisie.