Les deux rouages de la construction « identitaire »…
Faire c’est se regarder, regarder s’est se faire, se regarder faire…
Le faire : une occupation , un métier, un salaire et une retraite. Une vie (?).
Actuellement, celle-ci est en fonction d’un marché qu’on regarde, qu’on scrute, qu’on interroge. C’est un faire pour ceux qui le présentent dans les médias et se regardent le faire et pour ceux qui les regardent le faire. Mets « dia » et/ou « hue » et la charrette avance.
Le regard des autres, c’est le regard du faire
Regarder et faire, c’est appartenir.
Mendier, c’est appartenir, comme « chier bio »*.
D’autres indentités comme la violence la séduction, la solidarité… sont des faire.
Cette violence, par exemple, celle que subissent les enfants, dans certains milieux ce sont des petites filles, dans d’autres ce sont des petits garcons. Des regards et des faire.
Le regard de l’homme…
le regard de la femme..
Arrêtons d’en faire, le cinéma zabonnés.