La tendance in, actuellement, c’est la découverte de l’autre en passant par une découverte de soi-même, même devant les autres. On n’est plus sur des amers. Mais l’amer est sûr, il est là.
Toujours cette quête d’appartenance. Certains les utilisent, la quête et/ou l’appartenance, comme d’autres se servent de la pauvreté. Celle-ci, on nous le dit, est devenue une marchandise, un secteur de l’économie, et le marché est large. Il y a des nuances dans la définition de ce qu’est cette marchandise. Son propre ego ? Je me consomme en”croyant que je crois » ou en “croyant que je ne crois pas ». Cette consommation de moi passe par la matérialisation et par les temps qui courent je suis une marchandise, emballée ou pas.
C’est le noeud du problème ou le point d’inflexion d’un changement de direction. Un des échanges entre les êtres passe par ce questionnement sur l’identité, de l’identité. L’identité comme marchandise ou la marchandise comme identité ?
La pauvreté devient apparente ? Même si je n’ai rien il me reste quand même moi-même
Cela induit, paradoxalement, cette récente approche où dès que « tu as, tu es ». Elle est dans la continuité de la célèbre pensée « être ou avoir ? », qui vient quelque temps après de « être ou ne pas être ? ».
Affirmation sous forme de questionnement dans le cas ou « si tu as, qui est tu ? »
Des nouveaux rapports à l’autre sont à inventer comme cet éjaculateur précoce qui laisse sa ou son maso de moitié ligoté(e) et va faire les courses ou boire un verre au Bistrot.